Université de Waterloo
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Waterloo On N2L 3G1
Canada
Dans ce module, nous donnerons un aperçu de la démence à la fois d’un point de vue occidental et d’un point de vue autochtone; nous aborderons aussi les risques de disparition et vous fournirons des conseils de communication pour interagir avec une personne vivant avec une démence.
Cette vidéo vous présente la prévalence de la démence chez les Canadiens, ainsi que les risques associés comme les blessures et la mort. Les signes et symptômes courants de la démence y sont abordés, notamment les incidents qui pourraient nécessiter l’intervention des premiers répondants. Lorsque les premiers répondants reconnaissent les signes et les symptômes de la démence, alors leurs interactions avec les personnes touchées sont plus adaptées et la résolution de problème est facilitée, car ces personnes peuvent se comporter différemment. Par exemple, une personne atteinte d’un trouble cognitif peut éprouver des difficultés à suivre les instructions. La compréhension et l’éducation peuvent aider les premiers répondants à créer un environnement plus sécuritaire pour les personnes vivant avec une démence.
le_vieillissement_et_la_demence_-_fiche_de_conseils.pdf
Cette vidéo vous présente la manière dont la démence est comprise dans les communautés autochtones, y compris la croyance selon laquelle elle fait partie du cercle naturel de la vie. Contrairement à la manière dont elle est comprise dans la culture occidentale, les communautés autochtones n’ont pas de terme universel pour décrire la démence. Au lieu de cela, elles la décrivent par exemple comme être « distrait » ou avoir « quelque chose qui ne tourne pas rond dans la tête ». Pour faciliter des interaction positives avec les personnes touchées, il est essentiel de reconnaître que le terme « démence » pourrait ne pas être accepté ou reconnu par une personne, un prestataire de soins, un gardien du savoir ou le membre d’une communauté autochtone. Nous encourageons les premiers répondants à en apprendre plus sur la démence et les communautés avec lesquelles ils interagissent afin de mieux servir leurs membres et leur culture.
le_vieillissement_et_la_demence_dans_les_communautes_autochtones_-_fiche_de_conseils.pdf
Cette vidéo vous présente des informations sur les meilleures pratiques à adopter en interagissant avec une personne vivant avec une démence. Certaines consistent à aborder la personne de face, à lui poser des questions fermées et à se déplacer dans un environnement sans distraction. Si vous ne savez pas si la personne est atteinte de démence, nous vous recommandons de favoriser la prudence, en prenant note de tout comportement réactif déclenché par des stimuli internes et/ou externes. Les comportements réactifs peuvent comprendre : faire les cent pas, s’égarer et/ou faire des bruits inattendus. Les premiers répondants jouent un rôle essentiel en interagissant avec les personnes vivant avec une démence et leurs proches aidants en identifiant la cause du comportement et en offrant des ressources communautaires pour assurer la sécurité de la personne touchée.
la_demence_et_la_reponse_durgence_interagir_avec_une_personne_vivant_avec_une_demence.pdf
Chaque situation au cours de laquelle un premier répondant rencontre une personne vivant avec une démence est unique. Cette vidéo vous présente les étapes critiques pour faciliter une rencontre prenant en compte ses besoins. Une femme au début de la soixantaine se promène dans un quartier en hiver sans veste. La démence affecte sa perception de la température. Voici comment les premiers répondants s’engagent auprès d’elle : ils s’assurent qu’elle ne court pas de danger imminent, attendent qu’elle s’arrête de marcher de son plein gré, se présentent et lui demandent si elle peut s’identifier et où elle habite. Les premiers répondants sensibilisent les proches aidants à l’importance des stratégies de prévention pour éviter de futures disparitions.
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The University of Waterloo acknowledges that much of our work takes place on the traditional territory of the Neutral, Anishinaabeg and Haudenosaunee peoples. Our main campus is situated on the Haldimand Tract, the land granted to the Six Nations that includes six miles on each side of the Grand River. Our active work toward reconciliation takes place across our campuses through research, learning, teaching, and community building, and is co-ordinated within the Office of Indigenous Relations.