Robert Melançon

Robert MelançonRobert Melançon contribue à la poésie québécoise tant comme poète, critique que professeur. Ses recueils tels que Peinture aveugle (1979), Territoire (1981), L’avant-printemps à Montréal (1994) et Le paradis des apparences (2004) entretiennent un dialogue à géométrie variable avec les arts visuels et la ville de Montréal, tandis que ces essais Exercices de désoeuvrement (2002), Qu’est-ce qu’un classique québécois? (2004) et Pour une poésie impure (2015) offrent des réflexions sur la poésie, mais aussi des lectures de poètes québécois et d’ailleurs. Professeur émérite du département d’études littéraires de l’Université de Montréal, il vit aujourd’hui dans les Cantons-de l’Est où il poursuit sa pratique de l’écriture.

Lien:https://recherche.umontreal.ca/nos-chercheurs/repertoire-des- professeurs/chercheur/is/in15740/

Confrérie avec des poètes anglophones

Début d'entretien - Robert Melançon parle des influences des poètes anglophones sur son approche de la poésie.

Dans l'atelier du poète

Robert Melançon se confie au sujet de son processus d’écriture et de réécriture qui mène à l’élaboration d’un recueil.

Les infimes changements du paysage 

Robert Melançon évoque ce que lui inspirent les infintésimales variations du paysage naturel qui l'entoure. Le temps, la saison, la lumière révèlent un paysage qui est tout sauf statique.

"C'est le paysage qui me saisit"

Les paysages naturels appellent un autre mode de contemplation que l’environnement urbain. Robert Melançon explique la façon dont il perçoit ses interactions avec ces paysages naturels.