Snapshots of IQC
This week, 24 graduates from the Institute for Quantum Computing (IQC) will cross the stage at convocation, earning their University of Waterloo graduate degrees from engineering, math and science.
“Congratulations to all our graduates! Remember that you will always be members of IQC’s community and are welcome to visit any time. We look forward to seeing you grow and expand the quantum ecosystem in the next chapter of your careers,” says Dr. Norbert Lütkenhaus, Executive Director, IQC.
To celebrate all the accomplishments of our new graduates, we’ve invited Andrew Cameron, one of this year’s PhD graduates to reflect on his time at IQC. Andrew completed his PhD with Dr. Kevin Resch, an IQC faculty member and professor in the Department of Physics and Astronomy.
What initially drew you to study at IQC?
I was initially drawn to IQC because there is a large variety of academics studying very different fields with a common goal. It never made sense to me to keep the chemists in a different building than the physicists and computer scientists, especially considering some of the most important problems we face are interdisciplinary. I learn most effectively through interactions with people, and surrounding myself with different specialties has always been a top priority. IQC’s strength and community come from its diversity of thought and scientific approach to problem solving.
What are you looking forward to after graduating?
I think I’ve been very fortunate to study quantum information science at a time that big tech companies and venture capitalists are really starting to prioritize quantum technologies. We’ve known the theoretical implications of quantum computing, communication, and sensing for decades, but we’re just barely beginning to see these concepts utilized for a practical advantage. I’m excited to see what we’ll be capable of in the near future and where quantum science lands relative to the hype it’s received.
Is there anyone from IQC who left a lasting impact on you?
Of course, there are many - I worked at IQC for six years! To highlight an example, John Donohue has inspired me to be the best scientist I can be and pass on my excitement to the generation that’s still figuring out their career path. In my time at IQC, John organized countless high school visits focusing on presenting quantum information science topics to physics and general science classes across Canada and the US. In a world where many scientists focus solely on their own career and push others down to get ahead, John goes out of his way to bring others up with him, and as other IQC members can surely attest, he’s an incredible example in our community.
Réflexions d’un diplômé de l’IQC, juin 2024
Récapitulatif de l’IQC
Cette semaine, 24 étudiants fraîchement émoulus de l’Institut d’informatique quantique (IQC) fouleront la scène à la collation des grades pour recevoir leur diplôme de cycle supérieur de l’Université de Waterloo – en génie, en mathématiques, en sciences.
« Félicitations à tous nos diplômés! N’oubliez jamais que vous ferez toujours partie de notre grande famille à l’IQC; revenez nous visiter n’importe quand. Nous avons hâte de vous voir vous développer et contribuer à l’écosystème quantique dans ce nouveau chapitre de votre carrière », se réjouit Norbert Lütkenhaus, directeur général à l’IQC.
Pour souligner ce grand moment, nous avons invité un des diplômés au doctorat de cette année, Andrew Cameron, à revenir avec nous sur son parcours à l’IQC. Andrew a fait son doctorat sous la direction de Kevin Resch, qui est membre du corps professoral de l’IQC et professeur au Département de physique et d’astronomie.
Qu’est-ce qui t’a amené à étudier à l’IQC?
Ce qui m’a tout de suite attiré, c’est le fait que l’IQC vient unir des universitaires de toutes sortes de domaines différents sous une bannière commune. Ça ne m’a jamais paru logique qu’on sépare les chimistes, les physiciens et les informaticiens chacun dans leur coin, surtout quand on sait que certains de nos plus grands problèmes sont interdisciplinaires. J’apprends le mieux quand je peux échanger avec les autres, et m’entourer de gens de différentes spécialités a toujours été une priorité absolue. La force de l’IQC, sa communauté, réside dans la grande diversité des idées et des approches scientifiques employées dans la résolution de problèmes.
Quels sont tes plans après la collation des grades?
Je crois pouvoir m’estimer chanceux de m’être lancé dans la science quantique en plein à l’époque où les géants de la technologie et les investisseurs en capital de risque commencent à sérieusement s’intéresser aux technologies quantiques. Cela fait des décennies que nous saisissons dans l’abstrait les implications de l’informatique, de la communication et de la détection quantiques, mais nous commençons à peine à voir la théorie mise en pratique. J’ai hâte de voir ce dont nous serons capables dans un proche avenir, et si la science quantique fera bonne figure devant tout l’engouement qu’elle suscite.
Y a-t-il quelqu’un à l’IQC qui a laissé sa marque sur toi?
Bien sûr, et pas qu’une seule personne – je vais avoir travaillé six ans à l’IQC! Un exemple parmi tant d’autres : John Donohue, qui m’a poussé à donner le meilleur de moi-même et à transmettre ma passion à la génération suivante, qui se questionne encore sur son orientation de carrière. Durant mon passage à l’IQC, il aura organisé je-ne-sais-plus combien de visites d’écoles secondaires un peu partout au Canada et aux États-Unis pour faire connaître la science quantique et ses enjeux aux élèves dans des cours de physique et de science en général. Dans notre monde où tant de chercheurs ne pensent qu’à leur carrière, quitte à renfoncer les autres pour se démarquer, John fait tout le contraire et se démène pour faire avancer les autres avec lui. Demandez à n’importe qui à l’IQC : il est vraiment un modèle de ce que notre institut a de meilleur.