Des exercices grammaticaux sur mesure…
Grâce aux nouvelles technologies et à des instructeurs branchés !
Depuis janvier 2018 (et jusqu’en décembre 2019), plusieurs membres du département développent un projet enthousiasmant intitulé « Open online interactive workbook for intermediate students of French as a second language (FSL) ». Il s’agit de construire un cahier d’exercices interactifs en ligne pour les étudiants du cours FR192B (niveau intermédiaire). Nous avons décidé de les rencontrer pour en savoir plus.
Cynthia Tremblay, Loula Abd-Elrazak, Nicolas Hebbinckuys, Mikalai Kliashchuk, Rocky Penate et Kanstantsin Tsedryk sont tous impliqués dans cette initiative. De façon très sommaire, il s’agit pour eux de développer des exercices spécifiquement conçus en fonction des points de grammaire examinés en classe. Ces exercices, à faire en ligne, permettent aux étudiants d'évaluer leur niveau et de mettre en pratique les notions traitées dans le cours. Ce « Projet Cahier » – comme il est affectueusement surnommé – offre un riche complément à la formation et permet d’aborder la grammaire de manière interactive, notamment en raison de la grande variété de types d’activités proposées. L’objectif est de créer une expérience sur mesure pour les étudiants.
L’idée de réaliser un tel « cahier » tire ses origines de discussions entre les enseignants du cours qui ont exprimé le désir de fournir une ressource supplémentaire aux étudiants, une ressource qui serait à la fois gratuite, interactive et formative. Ces échanges ont donné lieu à une demande de subvention déposée à l’automne 2017 auprès du Centre d’excellence en enseignement de l’Université de Waterloo. Le groupe a ainsi obtenu un financement « Learning Innovation and Teaching Enhancement » (LITE) de 30 000 $ pour mener à bien ce projet.
Ce cahier d’exercices interactifs sera accessible aux étudiants inscrits en FR192B à partir du site LEARN attribué à ce cours. Le groupe élabore les chapitres les uns à la suite des autres. Le premier étant déjà complété et en ligne, certains étudiants ont pu l'utiliser et faire part de leurs commentaires. Afin de donner une idée plus précise de cet outil, nous en proposerons une visite guidée dans le prochain numéro de French Connection. Rendez-vous en février 2019 pour découvrir le « Projet Cahier » !
Grammar exercises custom-made…
Thanks to new technologies and savvy instructors
Since January 2018 (and until December 2019), many members of the department have been developing an exciting project called “Open online interactive workbook for intermediate students of French as a second language (FSL).” Their goal is to build an interactive online workbook for students enrolled in the intermediate-level course FR192B. We decided to meet them to learn more.
Cynthia Tremblay, Loula Abd-Elrazak, Nicolas Hebbinckuys, Mikalai Kliaschchuk, Rocky Penate, and Kanstantsin Tsedryk are all involved in this initiative. To sum up briefly, they are developing exercises catering to grammar points examined in class. These online exercises will help students gauge their level and put into practice specific notions. The “Projet Cahier,” as it is affectionately called, provides a rich complement to language training and an interactive approach to grammar, notably due to the variety of activities offered. The objective is to design an experience custom-made for our students.
The idea to create such a “cahier” stems from conversations between instructors of the class who wanted to make additional resources available for students, resources that would be free, interactive, and formative. The exchanges resulted in a grant application submitted to the Center for Teaching Excellence at the University of Waterloo in fall 2017. The group was funded through a Learning Innovation and Teaching Enhancement grant of $30,000 to complete the project.
The interactive workbook will be accessible to students enrolled in FR192B from the LEARN platform assigned to the course. The group creates one chapter at a time and uploads it online. As the first is already finished, some students have been able to try it out and to share their comments. We are happy to let you know that the February issue of French Connection will showcase a guided tour through the tool to give you a better idea of how it all works.
Entretien avec Artis Natura
Durant leurs études aux cycles supérieurs au Département d’études françaises, Julien Defraeye, Nathan Pirie et Eric d’Avernas ont conçu et créé la plateforme en ligne Artis Natura, consacrée aux représentations de la nature. Retour sur ce projet avec ses concepteurs.
Pouvez-vous nous parler des débuts d’Artis Natura ?
Nous étions trois étudiants du Département à un colloque à l’Université McGill sur le passé, le présent et l’avenir de l’écocritique (une approche littéraire qui s’intéresse à l’environnement) québécoise et franco-canadienne, quand l’idée a commencé à germer à partir de deux constats. D’abord, dans le champ littéraire, il y a un grand fossé entre la recherche en écocritique en anglais et celle qui se fait en français. Ensuite, il y a un écart assez considérable entre la littérature et les autres arts. Nous voulions proposer quelque chose qui répondrait à ces deux constats, créer un projet bilingue qui allait traiter de l’écocritique ou de la représentation de la nature en général (peinture, musique, théâtre, littérature). Ce qui devait être une plateforme assez académique au début est devenu au fil du temps, et selon nos intérêts à nous aussi, une plateforme pour la conversation, où nous pouvions jouer des deux côtés : la création artistique et la réaction critique à ces créations. Ce n’est pas une tribune pour les textes d’opinion ou les enjeux politiques. Les textes prennent habituellement la forme de billets qui font entre 800 et 1000 mots et cernent des réflexions très concises permettant soit de découvrir un artiste ou de poser des questions qui vont mener à d’autres réflexions. Nous nous intéressons principalement à l’art et aux représentations de la nature en tout genre, de sorte que nous avons maintenant pris nos distances par rapport à l’écocritique.
Vous avez choisi des thèmes particuliers pour les trois numéros déjà parus : l’eau, la forêt et l’humain.
On se retrouve deux fois par année pour décider des thématiques à aborder. À chaque fois, on choisit un domaine assez large (comme l’eau, par exemple) pour que plusieurs projets puissent s’y inscrire et pour s’assurer d’avoir un bon nombre de soumissions. Au début, nous avons eu des propositions d’étudiants et de professeurs du Département. Après deux ans, le projet tourne et nous avons des contributeurs qui nous envoient des documents de manière régulière, ainsi que de nouveaux collaborateurs, souvent de l’international, grâce aux médias sociaux. Notre troisième numéro, qui porte sur l’humain, a suscité des soumissions assez inattendues, sur l’intelligence artificielle comme représentation de l’humain, par exemple, ou sur l’humain au centre de la destruction de l’environnement. On avait déjà vu des contributions sur l’eau et l’humain, la forêt et l’humain, étant donné qu’un des postulats de l’écocritique est qu’il ne peut pas y avoir de division entre l’humain et la nature, que l’humain fait partie de la nature. Avec le troisième numéro, cependant, on amorçait une autre piste de réflexion sur l’humain. Notre prochain numéro, pour lequel on accepte encore des soumissions, porte sur la flore et la faune ; les réflexions sont publiées au fur et à mesure de leur soumission.
Vous êtes très actifs sur les médias sociaux…
Oui, nous avons trouvé que la plateforme Twitter (plutôt que Facebook ou Instagram) s’intégrait très bien à nos buts. En envoyant des gazouillis et en partageant des articles régulièrement, on a vraiment vu une hausse de popularité. Avec le numéro sur la forêt, par exemple, nous avons publié des poètes irlandais et toute une communauté de poètes a commencé à nous suivre. Ils contribuent maintenant activement à la revue. Puisque la plateforme est sur Internet, nous considérons qu’elle a une portée globale et sommes heureux de recevoir des contributions d’Afrique ou de France. À part les sites qui permettent d’afficher des appels à contribution, les médias sociaux sont la seule manière de communiquer avec des gens qu’on ne connaît pas. Notre présence sur Twitter a également servi à définir notre projet et à établir notre marque de commerce, notre terrain d’intervention.
Est-ce que vous avez d’autres projets en vue ?
Le scoop, c’est que nous préparons en ce moment une anthologie des différents billets proposés sur la plateforme, auxquels nous greffons des entretiens avec des artistes et des personnes qui travaillent sur le sujet dans le domaine universitaire. Cette anthologie combinera les numéros sur l’eau et la forêt. Nous sommes tout près d’avoir un manuscrit final : il reste à y intégrer des illustrations et des aquarelles. C’était important pour nous d’avoir une trace physique du projet ou un produit imprimé, de créer un objet d’art ou de collection, un objet assez unique finalement. Nous espérons que ce format intéressera d’autres gens et montrera à nos contributeurs actuels que c’est vrai qu’on souhaite imprimer leurs travaux, ce qui est particulièrement attirant pour les créateurs, artistes et écrivains.
During their graduate studies at the Department of French Studies, Julien Defraeye, Nathan Pirie, and Eric d’Avernas created Artis Natura, an online platform dedicated to representations of nature. Our follow-up interview with the three alumni.
Can you tell us about how Artis Natura began?
We were three students from the Department attending a conference at McGill University on the past, present and future of Québec and French-Canadian ecocriticism (a literary approach that focuses on the environment) when the idea started to germinate. We came to two conclusions. First, there was a wide gap in ecocritical research depending on whether it was being done in French or in English. Second, there is another wide divide between literature and the other arts. We wanted to propose something that would fill both gaps. It would be bilingual and would deal with ecocriticism or the representation of nature in general (painting, music, theatre, literature). What was meant to be a rather academic platform at the beginning turned out, following our own interests as well, into a platform for conversation where we could play with both artistic creation and critical responses to these creations. It is not a tribune for opinion pieces or for political issues. Contributions usually take the form of articles from 800 to 1,000 words and ask questions rather than answer them. We are mainly interested in art and in the multi-faceted, multimodal representation of nature, and so we gradually found that we were distancing ourselves from ecocriticism.
You chose specific themes for the three issues that are already out: water, the forest, and humans.
We meet twice a year to decide on themes for upcoming issues. Each time, we chose a domain large enough (like water, for example) so that multiple projects can fit within it, ensuring that we receive a large number of contributions. At the beginning, we received submissions from students and professors at the Department. After two years, the project is running well, and we have regular contributors as well as new, often international, collaborators thanks to social media. Our third issue, on humans, sparked rather unexpected submissions on artificial intelligence as a representation of humans, for example, or on the human as the centre of environmental destruction. We already had contributions on water and humans, on the forest and humans, because one of the premises of ecocriticism is that we cannot impose a division between the human and non-human world, that humans are part of nature. With the third issue, however, we started onto a new way of thinking about humans. Our next issue, for which we are still accepting submissions, is on fauna and flora; submissions are published as they are submitted.
You seem very active on social media…
Yes, we found that Twitter (rather than Facebook or Instagram) fit our goals rather well. By sending out tweets and by sharing articles regularly, we really saw an uptick in popularity. With the issue on the forest, for example, we published Irish poets and a community of poets started to follow us. They now actively contribute to the journal. Because the platform is on the Internet, we consider that it has a global reach and are happy to receive contributions from Africa or France. Apart from sites where we can post calls for papers, social media are the only way to communicate with people we don’t already know. Our presence on Twitter also helped us define our project and establish our brand.
What lies ahead for you?
Our big scoop is that we are currently preparing an anthology of articles proposed on the platform and of interviews with artists and with academics who specialize in the topic. This anthology combines our articles on water and the forest. We are very close to a final manuscript – we just need to insert illustrations and watercolours. It’s important for us to have a physical trace of the project or a printed product, to create an art object or collection piece, a rather unique object. We hope that the format will be of interest to others and will show our current collaborators that we really do intend to print their work, a perspective that is particularly attractive for creators, artists, and writers.
Une ancienne à Calgary
Devika Vijayan est aujourd’hui professeure adjointe à la School of Languages, Linguistics, Literature & Culture de l’Université de Calgary. Avant de s’installer en Alberta, Devika a réalisé une thèse de doctorat dans notre département, intitulée Les anecdotes dans les récits de voyage français aux Indes orientales (XVIIe et XVIIIe siècles), thèse qu’elle a complétée en 2013. Nous lui avons demandé de nous parler un peu de son parcours captivant.
Devika, pouvez-vous nous résumer où et quand vous avez fait vos études universitaires ?
Je mène une vie de nomade depuis mon enfance car mon père travaillait pour le gouvernement indien. Nous nous déplacions toujours d’une ville à une autre ou d’Inde vers un autre pays. Mon parcours scolaire reflète ce nomadisme. J’ai terminé mes études de premier cycle en littérature anglaise à l’Université de Madras (Inde). J'ai ensuite fait une maîtrise en études françaises à l’Université de Delhi (Inde), et j'ai terminé mes études de doctorat à l’Université de Waterloo en 2013.
Avez-vous un souvenir de notre département qui vous vient spontanément à l’esprit et que vous aimeriez partager ?
La dimension humaine du département sans aucun doute. Mes meilleurs souvenirs du département de français sont mes professeurs. Mes cours avec Guy Poirier, François Paré et Tara Collington ont laissé une forte impression et je les admire énormément. D’autres professeurs comme Catherine Dubeau, Paul Socken, Anne-Marie Miraglia avaient toujours leur porte ouverte, prêts à vous parler et à vous guider.
Qu’est-ce que vous retenez de votre formation au Département d’études françaises qui vous est particulièrement utile dans votre poste actuel ?
Premièrement, tous les étudiants ont l’occasion de décrocher un emploi au Département comme chargés de cours. L’enseignement des cours de langues m’a offert un atout indispensable pour préparer ma carrière universitaire. Deuxièmement, en ce qui concerne la recherche, le département a toujours encouragé les étudiants à participer à des colloques nationaux et internationaux. Je garde des souvenirs précieux de ma première présentation dans le cadre du colloque international des jeunes chercheurs, Convergences. La série de conférenciers invités au Café Rencontre a ouvert mon esprit estudiantin à divers sujets de recherche. Il y a aussi Quintessence, le journal officiel des étudiants du Département d’études françaises qui encourageait les étudiants à écrire des articles ou à publier leurs créations littéraires en français. Bref, j’ai trouvé un environnement d’études stimulant où les professeurs m’ont poussée à avancer jusqu’à mon poste actuel.
Vos travaux portent beaucoup sur le voyage; pourquoi est-ce un sujet qui vous fascine ?
Les relations de voyage m’intéressent parce qu’elles humanisent les lieux éloignés. Bien sûr, ces jours-ci, nous n’avons plus besoin d’écrire le voyage pour connaître les lieux inconnus. Les gens documentent leur vie avec des vidéos et des photos sur les réseaux sociaux. Pour moi, écrire un voyage n’est pas tout simplement un reportage. Il s’agit d’une ouverture de dialogue entre différentes cultures qui se doit de prendre en compte le point de vue subjectif et limité du voyageur.
En terminant, avez-vous un conseil pour nos étudiants actuels ou nos diplômés qui entameront leur carrière ?
La majorité des étudiants qui font des études aux cycles supérieurs supposent qu’ils se préparent à faire carrière comme professeur d’université et je leur souhaite bonne chance et beaucoup de succès. J’aimerais pourtant ajouter qu’il existe beaucoup d’autres possibilités. Il faut rester aussi ouverts que possible à ces autres voies. Il est possible d’appliquer votre domaine de recherche en études françaises à d’autres perspectives de carrière.
Devika Vijayan is an assistant professor in the School of Languages, Linguistics, Literature & Culture at the University of Calgary. Before moving to Alberta, Devika completed in 2013 a PhD dissertation in our department, the title of which is Les anecdotes dans les récits de voyage français aux Indes orientales (XVIIe et XVIIIe siècles). She has agreed to share with us some memories from the department and some insights on her work.
Devika, can you tell us a little more about which universities you have been to?
I led a nomadic life from my childhood as my father worked for the Government of India. We were always moving from one city to another or from India to another country. My educational experience reflects this nomadism. I completed my Undergraduate degree in English Literature from University of Madras (India). I then went on to do a Masters in French Studies from Delhi University (India) and completed my doctoral studies at University of Waterloo in 2013.
Is there a specific memory from our department that you would like to share with us?
Undoubtedly, the kind and considerate nature of the faculty and staff. My best memories of the French Department are my teachers. My classes with Guy Poirier, François Paré, Tara Collington made a great impression on me and I greatly admire them. Other professors like Catherine Dubeau, Paul Socken and Anne Marie Miraglia always had their doors open to talk to you and guide you.
What element of your training here is particularly useful in your current position?
Teaching undergraduate courses. To be in a real classroom situation and teaching first year and second year courses prepared me for a career in academia. As far as research goes, the department encouraged student participation in conferences both at the national and international levels. In fact, the first time I ever presented a paper was at Convergences, the graduate student conference. The Café Rencontre guest speaker series opened my student mind to diverse research topics, and we also contributed articles to the student magazine Quintessence. All in all, the Department of French provided me with all the right tools to help me be where I am today.
You work a lot on travel; why is it a fascinating subject for you?
Travel writing interests me because it humanizes distant places. Of course, these days, we no longer need travel writing to teach us about other places. People are documenting their lives with videos and social media posts. For me however, travel writing is more than reporting. It is a tentative inquiry into other places, one that seeks understanding and insight into other cultures while being aware of one’s own limited point of view.
Finally, do you have an advice for our current students or new graduates who will start their career?
Graduate school is for most part designed to prepare you for a tenure-track position in universities and I wish all students the very best in their future endeavours. I would like to advise students to remain as open as possible to other paths of employment. So, keep your options open.
Les réussites de 2018
Comme à chaque année, plusieurs étudiant.e.s du département ont terminé leurs études en juin 2018. Bravo à tous ceux et celles qui ont reçu leur diplôme lors de la cérémonie du 13 juin ! Nous vous souhaitons beaucoup de succès dans vos prochains projets !
Nous tenons aussi à féliciter le travail des étudiant(e)s qui ont terminé leur maîtrise ou leur doctorat dans les derniers mois. Nous indiquons plus bas leurs noms et la description de leurs travaux. Nous voulons aussi en profiter pour rappeler qu'il y a plusieurs parcours possibles aux cycles supérieurs, incluant des séminaires, des stages et des projet d'écriture. L'option à temps partiel est toujours disponible et l'Université offre un financement généreux aux étudiant.e.s admis.e.s. N'hésitez pas à nous écrire si vous voulez en savoir plus.
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As happens every year, several of our students finished their program in June 2018. Congratulations to all who received their diploma at Convocation on June 13! We wish you the best in your future projects!
We also wish to praise the work of our students who completed an MA or PhD in recent months: their names and the title of their work are below. Their success reminds us that graduate studies are possible along several paths, including seminars, internships, and writing projects. It is also possible to register to study part-time, and the University of Waterloo always offers generous funding. Please write to us if you want to learn more!
DOCTORAT
Coleen Even
Dirigée par Guy Poirier
«Le cap de Bonne-Espérance de 1676 à 1763 : de l'imagerie religieuse au stéréotype culturel»
Rosanne Abdulla
Dirigée par Tara Collington
« La représentation de la mélancolie et de la dépression dans la littérature française de l’extrême contemporain »
MAITRISE
EMILY SAUNDERS
Mémoire dirigé par Tara Collington
« La représentation de la femme alcoolique dans quatre textes littéraires
des années 1950 aux années 2010 »
ERGELA FEZOLLARI
Thèse dirigée par Guy Poirier
« Trois voix libres délibèrent en l’an 1562, à l’aube des guerres de Religion ; Étienne de La Boétie, Pierre de Ronsard et Sébastien Castellion »
RICHARD BARNETT
Mémoire dirigé par Nicolas Gauthier
« L’ Esthétique du rejet dans La Muse Noire (1883) de Stanislas de Guaïta »
TAYLOR VALNION
Mémoire dirigé par Élise Lepage
« De la chrysalide au papillon : La figure de l’enseignant dans Monsieur Lazhar (2011)
de Philippe Falardeau »
TESSA SMITS
Thèse dirigée par Nicolas Gauthier
« L'Enfant migrant dans la littérature pour la jeunesse : une analyse de six albums illustrés »
VANESSA DIAS
Thèse dirigée par Valérie Dusaillant-Fernandes
« Mise en écriture des facteurs de risque liés au geste suicidaire : étude de trois romans de la littérature française du XXI ͤ siècle »