Issue XXII | February 1, 2024
What's happening in French Studies:
Cercle français - Our student group is always planning fun social events.
Quintessence - Our graduate student newsletter, full of original works by our grad students.
Upcoming Cafés-Rencontres
Le 26 janvier 2024
denise truax, directrice de l’édition et codirectrice générale des Éditions Prise de Parole, a animé le premier café-rencontre de l’hiver avec une présentation intitulée « Dans la chaise de l’éditrice: 35 ans à accueillir et accompagner la parole de nos milieux »
Le 15 mars 2024
Nous accueillerons la poète, nouvelliste et romancière Mireille Gagné.
Heure et salle à confirmer.
Keep in touch!
It's always great to hear from alumni. We'd love to know what you are up to, so please send us an email.
Entretien avec Guy Poirier
1. Pourriez-vous s'il vous plaît nous résumer brièvement vos études (où et quand êtes-vous allé à l’université) et votre parcours professionnel ?
J’ai d’abord étudié à l’Université Laval, à Québec, avant de m’inscrire à la maîtrise puis au doctorat en littérature française à l’Université McGill. J’ai alors eu le privilège de travailler sous la supervision d’Eva Kushner qui m’a fait découvrir la Renaissance et m’a permis de parfaire ma formation de seiziémiste avec Michel Simonin, au Centre d’études supérieures de la Renaissance de l’Université de Tours, et avec Daniel Ménager, à l’Université de Paris-Nanterre.
Après avoir enseigné à temps partiel à l’École internationale de français de l’UQTR et à titre d’auxiliaire d’enseignement à l’Université McGill, j’ai obtenu un premier poste, à la fin de mes études doctorales, à Simon Fraser University en Colombie-Britannique. Tout en étant directeur du département, j’ai alors fondé, avec mes collègues, le Centre d’études francophones Québec-Pacifique. Puis, en 2003, j’ai été engagé par le département d’études françaises de l’Université de Waterloo où, comme vous le savez, j’ai été directeur de 2010 à 2019.
2. Est-ce qu'il y a un événement qui a changé l'orientation de votre carrière ou qui l'a marquée?
Je n’avais jamais vraiment pensé devenir professeur avant mes études de maîtrise. J’aimais la littérature, mais je n’avais pas de vision très claire de la suite des choses. Je me disais souvent, de façon bien naïve, que si j’aimais ce que j’étudiais, je finirais un jour par obtenir un emploi intéressant. Alors que je trouvais les séminaires de maîtrise plutôt difficiles, j’ai été étonné de découvrir, en deuxième année, que la recherche et la rédaction de thèse m’apportaient beaucoup. J’ai alors décidé de m’inscrire au doctorat, et le même phénomène s’est produit… c’était le début de ma carrière.
3. Quelles sont les choses les plus importantes que vous avez apprises sur l’enseignement ou la recherche au fil des ans ?
Je dirais que ces deux choses sont l’intérêt pour son travail et la persévérance. Il est évident qu’il faut bien se connaître afin d’établir ses objectifs, tout au cours de sa carrière, et aimer les défis et la culture. La persévérance est aussi importante, car nous évoluons dans un milieu où l’on vise l’excellence.
Un troisième aspect dont on parle finalement peu, dans l’université, mais qui me semble indispensable, c’est la collégialité. J’ai ainsi eu la chance de travailler avec des professeur.e.s et des collègues qui m’ont permis d’évoluer dans des milieux intellectuels dynamiques où les échanges étaient sincères et honnêtes. Ce type de milieu est déterminant, à mon avis, pour les collègues, mais également et surtout pour les étudiant.e.s de tous les cycles qui doivent être au centre de nos préoccupations et de nos attentions.
4. Quels sont vos projets pour l’avenir (immédiat ou à long terme) ?
J’ai encore quelques projets de recherche à terminer dans le domaine de la littérature de la Renaissance, mais je pense aussi me consacrer à des disciplines que je n’ai pas assez explorées au cours de ma vie. Je pense à la musique, à l’archéologie, à l’histoire du livre et aux langues. J’aimerais aussi voyager, mais je vous laisse imaginer l’endroit idéal où je pourrais me rendre afin de bouquiner, de consulter des livres rares et de visiter musées et monuments historiques.
Interview with Guy Poirier
1. Can you please summarize your studies (where and when you went to university) and your work history?
I obtained my BA in French Studies at Université Laval, in Quebec City. I then enrolled in the MA and PhD programs at McGill University in Montréal. I had the honour of working as a graduate student with Professor Eva Kushner who shared with me her interest in the French Renaissance. I went on to perfect my research skills in Renaissance studies with Professor Michel Simonin, at the Centre d’études supérieures de la Renaissance in Tours, and with Professor Daniel Ménager at the Université de Paris-Nanterre.
When I was a student, I worked part time teaching French at the Université du Québec à Trois-Rivières and as a TA at McGill University. I was hired, towards the end of my PhD program, by the Department of French at Simon Fraser University in British Columbia. While I was Chair of the Department, I founded, with my colleagues, the Centre d’études francophones Québec-Pacifique. In 2003, I was hired by the University of Waterloo and was chair of the Department of French Studies from 2010 to 2019.
2. Was there a turning point in your career? If so, could you please describe it to us?
Strangely enough, I never really thought, prior to my MA, that I would become a professor. I loved the field of French literature, but I didn’t have a clear vision of what the rest of my life would look like. I remember telling myself that so long as I liked what I was studying, I would one day find an interesting job. My first year in graduate school was rather difficult, but I had a revelation when I started working on my MA thesis. At the end of my program, I decided to start a PhD, and then the same thing happened… it was the beginning of my career.
3. Do you have any words of wisdom, about teaching or conducting research, you’d like to share?
I would say the two most important things are a strong interest in French Studies, and tenacity. We need, of course, to know our inner self well enough to be able to follow our dreams, be motivated by challenges and culture. Tenacity is also an important quality to cherish since we are all trying to strive for excellence in a very competitive world.
Collegiality has also had a huge impact on my career. I was lucky enough to work in two different departments and research teams where intellectual exchanges and debates were always honest and sincere. This type of environment is highly beneficial for everyone: for colleagues, for sure, but mostly for undergraduate and graduate students who must always be at the centre of our concerns and attention.
4. What are your plans for the future (immediate or long term)?
I am currently working on two research projects in Renaissance Literature that I hope to complete in the next few years. I would also like to devote more time to the study of some areas I haven’t had time to explore yet: music, languages, but also archeology and the history of books. Of course, I would like to travel, but I’ll let you guess where I would like to spend some of my free time, reading rare books, and visiting museums and historical sites.
Entretien avec Stacey Gerber
1. Pouvez-vous nous résumer vos études universitaires ?
J’ai fait mes études à l’Université de Waterloo où j’ai complété le programme de spécialisation en enseignement du français (French Teaching Specialization). J’ai suivi ma quatrième année à Chicoutimi au Québec où j’ai amélioré mes compétences à l’oral. Je me suis très bien intégrée à la culture québécoise. Grâce au programme FTS à Waterloo, il a été beaucoup plus facile d'être acceptée au baccalauréat en Éducation de l’Université de Nipissing (Schulich School of Education) et d'avoir l'esprit tranquille en sachant que j'irais dans cette université pour faire mon diplôme en éducation.
Après avoir complété mon diplôme à Nipissing University, j’ai fait une spécialisation en enseignement du français langue seconde, de même que des cours de qualification supplémentaire en espagnol et en éducation coopérative à l’Université Western. Ces cours de qualification supplémentaire permettent aux enseignants d'enrichir leur « portfolio pédagogique » et de pouvoir enseigner différentes classes.
Actuellement, je suis en train de préparer l’écriture du Law School Admission Test (LSAT) pour le mois de juin 2024. On verra alors où cela me mène.
2. Pouvez-vous nous parler de votre emploi actuel ?
En ce moment, je suis enseignante à Forest Heights Collegiate Institute, Kitchener. J’enseigne le français, le monde des affaires, le droit et je commence l'enseignement coopératif. C’est un partenariat d’apprentissage qui offre aux étudiants une expérience de travail précieuse tout en obtenant des crédits en vue de leur diplôme d’études secondaires. Le programme d’éducation coopérative comprend à la fois une composante en classe et une composante de travail ou de placement communautaire.
3. Qu’est-ce que vous retenez de votre formation au département d’études françaises qui vous est particulièrement utile dans votre poste actuel ?
Au début de ma carrière, je n’enseignais que le français. Mes cours de littérature et de langues à l’Université de Waterloo m'ont aidée à développer des leçons spécifiques et très ancrées dans le monde actuel telles que la communication spontanée au restaurant ou au supermarché, par exemple, ou des discussions sur comment parler de soi ou de sa famille, sur des intérêts des toutes sortes, sur des préférences alimentaires, etc. En créant des dialogues en situation authentique, les élèves apprennent à communiquer avec aisance et confiance au cas où ils voyageraient dans des pays francophones. Conjuguer les verbes, c’est important, mais ils veulent apprendre à communiquer et voir la valeur de la langue française dans le monde. En revanche, je continue à encourager les élèves à lire. On verra!
4. Parlez-nous de certains des défis auxquels vous avez dû faire face en tant qu’enseignante ainsi que des réussites dont vous êtes le plus fière.
Devenir enseignante a été un grand changement. Vous ne réalisez pas combien de travail cela implique réellement et combien de temps vous consacrez à vos cours et à la réussite de vos étudiant.e.s jusqu’à ce que vous soyez complètement immergé.e et que l’année scolaire commence. Honnêtement, je ne sais pas comment j’ai réussi ma première année. J'ai travaillé comme enseignante occasionnelle de longue durée (LTO) à temps plein dans mon ancien lycée. Je me réveillais tous les samedis et les dimanches et je travaillais presque toute la journée. J'ai appris après le Nouvel An que si je continuais ainsi, je m'épuiserais.
Au début, il a été très difficile de trouver un bon équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, mais en tant qu’enseignant.e, vous ne pouvez vraiment pas donner le meilleur de vous-même si vous ne prenez pas un peu de temps pour vous en dehors de votre travail. À la fin de ma première année, j’ai enfin pu mesurer les réussites de mon travail. J’ai eu des étudiant.e.s qui voulaient continuer en français l’année d’après et j’ai aussi trouvé mon style d’enseignement. J’ai beaucoup appris sur ce qui ne fonctionne pas en salle de classe.
5. Vous avez écrit durant les dernières années. Pourriez-vous parler un peu de votre publication ou de vos publications ?
J'ai vécu un traumatisme personnel lors de ma deuxième année d'enseignement. J'ai co-écrit un livre intitulé She's No Longer Silent en octobre 2020 (Golden Brick Road Publishing House, une petite maison d’édition qui a malheureusement fait faillite après la pandémie de COVID-19). J'ai également écrit un article de fond en français pour un autre livre intitulé Lighting the North. An Anthology of Feminism and Cultural Diversity from Accross the Nation (Golden Brick Road Publishing House, 2020) sous le pseudonyme de Mlle Elizabeth Ann. La décision de publier sous un pseudonyme est un choix que je regrette malheureusement. Il y a cinq ans, je craignais d’associer mon vrai nom à cette publication. Je tiens enfin à préciser que j'ai été la première auteure à publier en français dans cette maison d'édition.
She's No Longer Silent est une compilation de dix histoires de femmes différentes : celles qui ont vécu un divorce, des abus (physiques et mentaux) ou des agressions. Dans un monde où les victimes sont souvent réduites au silence, nous voulions utiliser notre voix pour nous lever et partager nos histoires. À l'époque, mon affaire était encore devant les tribunaux, donc je ne pouvais pas en dire beaucoup, mais je me suis concentrée sur l'importance de tenir un journal et d'écrire mes sentiments, mes émotions (frustrations et colère principalement).
Maintenant, j'ai l'intention de réécrire mon travail et, je l'espère, de publier ma propre histoire, mes frustrations contre le système judiciaire et comment, cinq ans plus tard, mon agresseur essaie toujours de « gagner » en profitant de ce système.
6. À long terme, quelle place souhaitez-vous donner au français dans votre vie professionnelle et/ou personnelle ?
Mon parcours d'enseignement m'a ouvert de nouveaux horizons puisque j’enseigne de nouvelles matières en plus du français, mais j'ai acquis de nombreux outils et astuces tout en enseignant la langue, que j'ai appliqués dans les nouveaux domaines que j'enseigne. Grâce au programme coopératif, j'espère pouvoir aider les étudiant.e.s passionné.e.s par le français à poursuivre des options de carrière en français après leurs études secondaires. Je suis restée en contact avec bon nombre de mes étudiant.e.s qui sont maintenant étudiant.e.s à l'Université de Waterloo et j'aime les entendre me raconter chaque minute de leur vie et leurs opportunités à Waterloo. Cela me donne envie de revenir et d'étudier davantage.
7. Auriez-vous des conseils à donner à nos finissants à la recherche d'un emploi (lié au français) ?
Pour celles et ceux qui souhaitent devenir enseignant.e de français, je vous encourage fortement à voyager, faire un échange, étudier à l'étranger. C'est la meilleure façon d'apprendre la langue. Dans mon opinion, les meilleur.e.s enseignant.e.s de français sont passionné.e.s par la langue et la culture et ont à cœur de les partager avec leurs étudiant.e.s.
Interview with Stacey Gerber
1. Can you tell us about your university education?
I studied at the University of Waterloo where I completed the French Teaching Specialization (FTS) program. I went to Chicoutimi, Quebec for my fourth year which allowed me to improve my oral skills. I enjoyed my stay in Chicoutimi very much, taking full advantage of being immersed in a francophone culture. Being enrolled in the FTS program at the University of Waterloo facilitated my acceptance to the Bachelor of Education program at Nipissing University (Schulich School of Education). This partnership between the two universities allows for a seemless transition and affords students much peace of mind.
After completing my degree at Nipissing University, I completed the Honour Specialist: French as a Second Language diploma as well as taking AQ courses (additional qualification) in Spanish and cooperative education at Western University. These additional qualification courses allow teachers to expand their "teaching portfolios" thereby qualifying them to teach a variety of different classes.
I'm currently preparing to write the Law School Admission Test (LSAT) in June 2024. I’m excited to see where that takes me.
2. Can you tell us about your current position?
Currently I’m teaching at Forest Heights Collegiate Institute in Kitchener. I teach French, business, law and starting this semester, I am teaching a course in a co-op program that provides students with an opportunity to obtain career experience and earn high school credits. This course includes in-class work as well as preparation for a job or a community placement.
3. What components of your degree in French from Waterloo have been particularly useful in your current position?
My literature and language courses at the University of Waterloo helped me to develop specific lessons anchored in real life situations, like spontaneous conversations at a restaurant or at a supermarket, for example, or teaching students how to talk about themselves, their families, and about personal interests. My years at Waterloo inspired me to work with students in an authentic way and enabled me to frame my lessons around real-world situations that help students to communicate with ease and confidence in case they travel to a francophone country. Conjugating verbs is important, but for students the true value of learning French is learning how to communicate. I also strongly encourage my students to read.
4. Tell us about some of the challenges you have faced as a teacher as well as some of the successes you are most proud of.
Being a teacher comes with many challenges. It’s impossible to understand the amount of work that goes into preparing lessons and helping students succeed until you are in it and the semester begins. I honestly don’t know how I survived my first year of teaching. Before being hired at Forest Heights Collegiate Institute, I worked as a Long-Term Occasional Teacher at another high school. To be ready for Monday morning classes, I would work most of the day Saturday and Sunday. After the New Year, I realized if I continued in that way, I would burn myself out.
At the beginning of a teaching career, it is so hard to find the balance between your professional life and your personal life, but as a teacher, you really cannot be your best self, if you don’t take time off from work. At the end of my first year, however, I was proud of my many successes and of my hard work. I had inspired students to continue studying French the following year and I had found my teaching style. I also learned what does not work in the classroom.
5. You have written during the last few years. Could you tell us a little about your publication(s)?
I experienced a personal trauma during my second year of teaching. I co-wrote a book called She's No Longer Silent (published by Golden Brick Road Publishing House October 2020, which unfortunately went bankrupt after the COVID-19 pandemic). I also wrote a feature short story in French for another book called Lighting the North. An Anthology of Feminism and Cultural Diversity from Accross the Nation (Golden Brick Road Publishing House, 2020) under my author name, Mlle Elizabeth Ann. The decision to publish under a pseudonym is one that I unfortunately regret. Five years ago, I was afraid to associate my real name with the publication.
She's No Longer Silent is a compilation of ten different women's stories. Those who have experienced divorce, abuse (physical and mental) or assault. In a world where victims are often silenced, we wanted to stand up and use our voices to share our stories. At the time, my case was still before the courts, so I couldn't say much, but I focused on the importance of keeping a journal and writing down my feelings, my emotions (frustrations and anger mainly).
Now I plan to rewrite my work and hopefully publish my own book to share my story, the frustrations of the justice system and how, five years later, my abuser is still trying to "win" by using the system.
6. In the long term, what role would you like French to play in your professional and/or personal life?
My teaching journey has lead me to new shores and I now teach other subjects besides French, but I learned many important tools and tips while teaching French, which I apply to the new areas I now teach in. Through the co-op program, I hope to be able to help students who are passionate about French pursue career options in French after high school. I have stayed in touch with many of my students who are now students at the University of Waterloo and love hearing about their lives and opportunities at the University of Waterloo.
7. Would you have any advice for our graduates looking for a job (French-related)?
If you want to become a French teacher, the best way to learn the language is to travel or study abroad. Really good French teachers, in my opinion, are passionate about the language and the culture and have a strong desire to share this passion with their students.
Convergences 2024
Rassemblement annuel de jeunes chercheuses et chercheurs en études françaises, le colloque Convergences se déroulera en personne à l’Université de Waterloo le 26 avril (salle à annoncer). Le thème de cette année est « Environnement(s) : responsabilités, angoisses, indifférences ». Les séances seront ouvertes au public. L’appel à communication est ouvert jusqu’au 15 février. Pour toute question relative au colloque, prière de consulter le site de l’événement ou de contacter le comité organisateur à l’adresse suivante : convergenceswaterloo@gmail.com.
The Department of French Studies’ annual conference for graduate students, Convergences, will take place in person on April 26 at the University of Waterloo (room to be announced). This year’s theme is “Environment(s): responsibilities, fears, indifferences”. The sessions will be open to the public. The call for paper is open until February 15th. For information about the conference, please visit the conference website or contact the organizing committee at convergenceswaterloo@gmail.com.
Nouvelles brèves du département
- La professeure Élise Lepage a présenté une conférence d'honneur intitulée « Énergies écoféministes: penser et faire » le 13 octobre 2023 dans le cadre du colloque « Nouvelles représentations de la nature dans la francophonie » à l'Université Dalhousie, à Halifax.
- En novembre 2023, les professeures Valérie Dusaillant-Fernandes et Nicole Nolette ont été invitées par Phyllis Dalley, professeure titulaire à la Faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa et directrice fondatrice des Chantiers d’actions et de recherches pour des Ffrancophonies inclusives (CARFfi) à participer comme intervenantes à deux balados pour la série « Bâtissons ensemble » intitulés respectivement « Littérature jeunesse africaine » et «Littérature jeunesse et variations du français ».
- En novembre 2023, pour couronner ses années parmi nous et sa belle carrière en études françaises, le professeur Guy Poirier, membre de la Société Royale du Canada, nous a fait l’honneur d’animer le dernier café-rencontre de l’automne avec ses auxiliaires de recherche Emilie Bruce et Maxime Batiot. Le titre de la présentation était : « Il était une fois un roi…devenu reine? » et portait sur les différentes interprétations d’un texte du XVIesiècle mettant en scène une mystérieuse « reine Gijlette ».
- En février 2024, la nouvelle monographie de la professeure Nicole Nolette est parue aux Presses de l’Université de Montréal. Elle a pour titre Traverser Toronto. Récits urbains et culture matérielle de la traduction théâtrale.
Brief News from Our Department
- Professor Élise Lepage presented a keynote lecture entitled "Énergies écoféministes: penser et faire" on October 13, 2023 as part of the "Nouvelles représentations de la nature dans la francophonie" conference at Dalhousie University in Halifax.
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In November 2023, Professors Valérie Dusaillant-Fernandes and Nicole Nolette were invited by Phyllis Dalley, full professor in the Faculty of Education at the University of Ottawa and founding director of Chantiers d'actions et de recherches pour des Ffrancophonies inclusives (CARFfi) to participate in two podcasts for the "Bâtissons ensemble" series, entitled respectively "Littérature jeunesse africaine" and "Littérature jeunesse et variations du français".
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In November 2023, Professor Guy Poirier, Member of the Royal Society of Canada, crowned off his year and his illustrious career in our department by presenting the last café-rencontre of the fall with the help of his research assistants Émilie Bruce and Maxime Batiot. The title of the presentation was “Il était une fois un roi…devenu reine?” and chronicled the different interpretations of a sixteenth-century text depicting a mysterious “reine Gijlette”.
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In February 2024, Professor Nicole Nolette published a new monograph, titled Traverser Toronto. Récits urbains et culture matérielle de la traduction théâtrale, with the University of Montreal Press.